22 janvier 2008
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11:01
ou plutôt le lecteur...
Un petit article pour montrer que je travaille, plus exactement Comment je travaille.
Apprendre le chinois, à mon niveau (faible le niveau, très faible...) c'est essentiellement du par coeur à répétition. Apprendre les nouveaux mots, comment les prononcer et surtout, comment les écrire.
On a tous connu ça, en apprenant les langues étrangères, les listes de vocabulaire. Des dizaines de mots à chaque interro, comment rejoindre la traduction au mot dans un cerveau bien embrouillé. C'était assez difficile comme ca en allemand, anglais et espagnol. ca monte encore d'un échelon en chinois.
Apprendre à dire d'abord, pour l'oral. c'est déja bien. Et pour les langues européennes, ca suffit, car selon le son, on sait comment écrire le mot. Ca ne suffit pas pour le chinois. Au mieux le son donne des indications. mais il faudra toujours finir par apprendre également es caractères qui vont avec.
apprendre un mot, donc, ca nécessite d'apprendre deux choses totalement différentes: la prononciation et les caractères.
Et comme mon cerveau n'est qu'humain, ca a tendance à faire beaucoup, et au fur et à mesure que passaient les semaines, la place commençait à manquer, ca ne rentrait plus.
alors j'ai décidé d'avoir recours à l'arme suprême. le bazouka de l'apprentissage du chinois: les petits cartons.
Ces quarts de fiche bristol dont on écrit sur une face les caractères, et sur l'autre le pinyin (transcription en alphabet latin de la phonétique) et la traduction. un carton par mot. les cartons s'empilent...
Près de 400 cartons faits en un week end (tout rattraper depuis le début de l'année); et ce n'est que le début. maintenant il faut apprendre. Méthode infaillible: répétition encore et toujours.
lire un coté du carton, essayer d'en deviner l'autre. A chaque fois, on en vient un peu plus près. Il y a toujours certains mots qui prennent plus longtemps que d'autres.
Apprendre le chinois donc, c'est aussi faire travailler son poignet, pou retourner les cartons et les faire défiler les uns après les autres.
faut pas croire, c'est sportif.
Mais ca marche, comme si j'avais débloqué de l'espace libre dans mon cerveau (peut-être l'espace précédemment occupé par mla connaissance de l'orthographe française... désolée pour els nombreses fautes...)
Un petit article pour montrer que je travaille, plus exactement Comment je travaille.
Apprendre le chinois, à mon niveau (faible le niveau, très faible...) c'est essentiellement du par coeur à répétition. Apprendre les nouveaux mots, comment les prononcer et surtout, comment les écrire.
On a tous connu ça, en apprenant les langues étrangères, les listes de vocabulaire. Des dizaines de mots à chaque interro, comment rejoindre la traduction au mot dans un cerveau bien embrouillé. C'était assez difficile comme ca en allemand, anglais et espagnol. ca monte encore d'un échelon en chinois.
Apprendre à dire d'abord, pour l'oral. c'est déja bien. Et pour les langues européennes, ca suffit, car selon le son, on sait comment écrire le mot. Ca ne suffit pas pour le chinois. Au mieux le son donne des indications. mais il faudra toujours finir par apprendre également es caractères qui vont avec.
apprendre un mot, donc, ca nécessite d'apprendre deux choses totalement différentes: la prononciation et les caractères.
Et comme mon cerveau n'est qu'humain, ca a tendance à faire beaucoup, et au fur et à mesure que passaient les semaines, la place commençait à manquer, ca ne rentrait plus.
alors j'ai décidé d'avoir recours à l'arme suprême. le bazouka de l'apprentissage du chinois: les petits cartons.
Ces quarts de fiche bristol dont on écrit sur une face les caractères, et sur l'autre le pinyin (transcription en alphabet latin de la phonétique) et la traduction. un carton par mot. les cartons s'empilent...
Près de 400 cartons faits en un week end (tout rattraper depuis le début de l'année); et ce n'est que le début. maintenant il faut apprendre. Méthode infaillible: répétition encore et toujours.
lire un coté du carton, essayer d'en deviner l'autre. A chaque fois, on en vient un peu plus près. Il y a toujours certains mots qui prennent plus longtemps que d'autres.
Apprendre le chinois donc, c'est aussi faire travailler son poignet, pou retourner les cartons et les faire défiler les uns après les autres.
faut pas croire, c'est sportif.
Mais ca marche, comme si j'avais débloqué de l'espace libre dans mon cerveau (peut-être l'espace précédemment occupé par mla connaissance de l'orthographe française... désolée pour els nombreses fautes...)